مجلة المرفأ الأخير
النص المترجم للفرنسية الخاص بالعدد الخامس لسنة 2019
حُلمُ سُراقة
بقلم: عادل قاسم
ترجمة : الشاعرة التونسية فاطمة محمود سعدالله.
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لا ليسَ ذنبكَ. كانَ ذَنْبي. أَوْدعْتَ رملَ البَحرِ قافيتي وَوَهَبْتَ كلَّ خَزائِني لِفمِ الرِّياحِ فأَرهَقَ البَحرُ الحزينُ حكايتي والمدُّ بَعْثرَ ضَوءَها جُرحًا على شُرفاتِ قلبي وَنسيتُ في قعرِ الجُنونِ مواعِظي لمَّا رايتُكَ باسمًا فتلمَّسَتْ روحي لكَ الأَعذارَ في ألفَينِ جُبّ...يا صاحبي كلّ المساءات الجريحةِ في الفناء تَقَطَّعَتْ. ما عادَ في النَّهرينِ ماء وَسَرُوا كأَنَّهمُ جيادُ اللَّيلِ. سربٌ من نُجومٍ لا يبارحُها انطفاء زِمَنٍ كخيطِ الظلِ ّيَسْرِدُ جنحَهُ الوهمُ المُشَظَّى..في ارتباكاتِ الفَضاء لا يرتوي جُرْفُ النَّهارِ ولا عِيونُ البرق تشرقُ. والدُنا مَحضُ افْتِراء، هيَّا أِسْقِنيهِ غِمامةً أَرْخَتْ جَناحَ الكأْسِ حَقلًا من شظايا ودماء. جَيشُ العَناكبِ ِ يَسْلبُ القِداحَ ضَوعًا من رَحيق، ليشبَّ في الاُفقِ الحريق بلا انطفاءْ. هذي خَزائنُ كِسْرَى وجيوشه.. وأساورُ الماسِ التي يومًا تَقَلدَّها سُراقةُ وحفنةٌ ضَلّوا الطَّريقَ على مَشارفِ كربلاء. امدد يَمينكَ لا تبِعِ الصَّمْتَ في سوقِ البلادةِ خِفْيةً. اليوم لا يُجدي الزَّعيقُ فلقدْ تشظَّى المَوتُ.. في كُلِّ الوجوهِ القانِتاتِ إلى السَّماء.
Le rêve de SURAQA.
Texte d'Adel Kacem ... IRAK ..Traduit par Fatma Mahmoud Saadallah.
ce n'est pas ta faute ;c'est moi le coupable.
j'ai confié ma poésie au sable maritime et j'ai présenté toute ma fortune comme un don à la gueule du vent.la triste mer a accablé mon histoire.
La marée haute a répandu sa lumière comme une blessure sur les pavillons de mon cœur.Au fond de la folie j'ai oublié mes leçons et ma sagesse.
Quand je t'ai vu souriant,mon âme t'a trouvé les excuses au fond de deux mille puits. Oh mon ami , tous les soirs blessés sont déchirés dans le néant.
Plus d'eau dans les deux fleuves , ils se sont écoulées comme les chevaux de la nuit. Une passée d'étoiles que l'éteinte du temps comme le fil de l'ombre ne la quitte pas, son obscurité racontait une illusion éclatée .
L 'espace,étant déroutée, la berge du jour ne peut pas étancher sa soif et les yeux de l'éclair ne peuvent se lever.
La vie terrestre est un pur mensonge.
allez y , verses le moi une nuage qui abaissait l'aile du verre comme un champs de dépouilles et de sang.
Une armée d'araignées a démunie les pierres à fusil de leur odeur pour mettre l'horizon à feu qui ne s'éteindra jamais.Voilà les trésors de KISRA et son armée,et les bracelets de diamant que SURAQa l'a porté un jour, une poignée e'est égarée , tout prés de KARBAlAA .Tends ta main droite, ne vends pas le silence secrètement au marchée de l'idiotie.
Aujourd'hui,la vocifération n'est pas utile .La mort s'est éclatée en fragments,on la voit sur tous les visages désespérés dirigés vers le ciel.
Texte Traduit par Fatma Mahmoud Saadallah :::TUNISIE
Texte d'Adel Kacem ... IRAK ..Traduit par Fatma Mahmoud Saadallah.
ce n'est pas ta faute ;c'est moi le coupable.
j'ai confié ma poésie au sable maritime et j'ai présenté toute ma fortune comme un don à la gueule du vent.la triste mer a accablé mon histoire.
La marée haute a répandu sa lumière comme une blessure sur les pavillons de mon cœur.Au fond de la folie j'ai oublié mes leçons et ma sagesse.
Quand je t'ai vu souriant,mon âme t'a trouvé les excuses au fond de deux mille puits. Oh mon ami , tous les soirs blessés sont déchirés dans le néant.
Plus d'eau dans les deux fleuves , ils se sont écoulées comme les chevaux de la nuit. Une passée d'étoiles que l'éteinte du temps comme le fil de l'ombre ne la quitte pas, son obscurité racontait une illusion éclatée .
L 'espace,étant déroutée, la berge du jour ne peut pas étancher sa soif et les yeux de l'éclair ne peuvent se lever.
La vie terrestre est un pur mensonge.
allez y , verses le moi une nuage qui abaissait l'aile du verre comme un champs de dépouilles et de sang.
Une armée d'araignées a démunie les pierres à fusil de leur odeur pour mettre l'horizon à feu qui ne s'éteindra jamais.Voilà les trésors de KISRA et son armée,et les bracelets de diamant que SURAQa l'a porté un jour, une poignée e'est égarée , tout prés de KARBAlAA .Tends ta main droite, ne vends pas le silence secrètement au marchée de l'idiotie.
Aujourd'hui,la vocifération n'est pas utile .La mort s'est éclatée en fragments,on la voit sur tous les visages désespérés dirigés vers le ciel.
Texte Traduit par Fatma Mahmoud Saadallah :::TUNISIE
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